Dichter leest en zwijgt:
soms zitten ook elfjes vast in de 8baan van oneindigheid in het midden is een stipje dat eindigheid omhelst en het maakt ons kwetsbaar
misschien zijn tranen de enige manier om het scharnier terug te openen ... je krijgt dus een traan met verdriet en een traan met geluk in de hoop dat emotie voor evenwicht zorgt ... elfjes zijn nooit ver weg ..
Oh je danse encore de temps en temps
Dans ma robe bleue à franges
Les rues murmurent encore ton nom
Est-ce bien étrange?
As-tu trouvé, dans les feux dans les flammes,
Ton idéal rouge ardent?
As-tu froid?
As-tu peur de l'aurore?
Tu disais tout s'évapore
Tu as eu tort
Oui je passe encore devant "chez Jean"
Mais je n'ose pas entrer
Nos amis y sont, je les entends
Il y a trop de cœurs gravés
As-tu trouvé, loin des villes loin des larmes
Ton idéal rouge ardent?
As-tu froid?
Trembles-tu quand tu pars?
Tu disais tout s'évapore
Tu as eu tort
Corps à corps j'en rêve encore
Le feu le vent mille le volcan
Rouge ardent quand tu m'embrassais fort
J'en rêve encore
Le jour se lève... encore
As-tu trouvé, dans les feux dans les flammes
Ton idéal rouge ardent
As-tu froid?
As-tu peur de l'orage?
Tu disais tout s'évapore
As-tu trouvé, dans les feux, dans les flammes
Ton idéal rouge ardent
Tu voulais, changer de décor
Tu as eu tort
J'en rêve encore
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